dimanche 31 juillet 2011

Mediator: le Dr Dukan assigné au tribunal

Le médecin nutritionniste Pierre Dukan était assigné en référé devant le tribunal correctionnel de Toulon (Var) au motif qu'il refusait de communiquer le dossier médical d'une patiente à qui il avait prescrit du Mediator. Absent de l'audience à laquelle il n'était pas représenté, le praticien a adressé un courrier à l'avocate de la plaignante, Me Christine Ravaz, affirmant: "je me place derrière ma patiente (...), je souhaite que la lumière soit faites, croyez-en mon soutien".

Dans cette lettre qui a été lue, le Dr. Dukan écrit notamment à propos du Mediator: "nous avons manqué d'information". L'avocate a déploré "les gribouillis indéchiffrables" qui accompagnaient ce courrier et qui, selon le Dr. Dukan, correspondent aux fiches médicales de sa patiente, Mme Marie-Claude Benkemoun, 68 ans, domiciliée à Solliès-Pont (Var) et qui souffre d'une valvulopathie aortique.
"Le Dr. Dukan qui est mon médecin depuis 40 ans, depuis septembre 1991, m'a adressé seulement 4 fiches qui correspondent, selon lui, à dix ans de suivi médical", s'est étonnée Mme Benkemoun. Le laboratoire Servier, également assigné dans ce dossier par Mme Benkemoun pour qu'une expertise médicale soit diligentée pour savoir s'il y avait un lien de causalité entre la prise de Mediator et la pathologie révélée, a demandé que soit établi "le bien fondé du traitement mis en oeuvre et sa conformité aux prescription du laboratoire".

Quatre autres dossiers, concernant trois femmes âgées entre 53 et 60 ans , aujourd'hui en invalidité, et un homme de 73 ans décédé en 2008, représentée par sa veuve, ont été instruits au cours de cette audience.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/07/26/97001-20110726FILWWW00370-mediator-le-dr-dukan-assigne-au-tribunal.php

vendredi 29 juillet 2011

Le cachemire, c'est glamour

Monica Belluci devient l'égérie de Bompard tandis que Claudia Schiffer lance sa collection cachemire pour l'automne.



L'actrice Monica Belluci incarnera la marque Eric Bompard dès la rentrée tandis que la top Claudia Schiffer vient de révéler sa collection cachemire lors de la semaine de la Haute Couture à Paris. Les fabricants de la célèbre maille frappent fort. Il faut au moins ça pour rendre glamour la laine de chèvre!

D'un côté, Bompard, la griffe spécialisée dans cette maille opère un revirement de taille dans sa communication. Après neuf campagnes en illustration, la maison troque ses mythiques et impertinentes chèvres contre une des actrices les plus hot du monde (sacrée plus belle femme du monde en 2009). Après avoir été l'égérie de Dolce&Gabbana et Dior, la diva franco-italienne ne craint pas le mélange des genres et déclare dans le communiqué combien elle apprécie le côté "sensualité, confort et élégance" et ce pour toute la famille de Bompard. La ligne qu'elle incarne ose la couleur: rose flash, vert olive... Il faudra attendre mi-août pour la découvrir en boutique et sur le site. A noter: un pull à manches longues (70% cachemire, 30% soie) commence aux alentours de 160 euros chez Bompard.

De l'autre côté, la mannequin Claudia Schiffer a travaillé en collaboration avec le fabricant allemand de cachemire Iris von Arnimpour pour présenter une ligne de cardigans, robes droites, capes courtes, pulls plus doux que doux dans des coloris automnales (gris, bleu, cendre). Les arguments de vente sont quasiment les mêmes. "Le chic sans effort. C'est ça l'idée", a expliqué Claudia à l'agence Reuters lors du lancement de sa marque destinée à des mères actives qui veulent porter la même tenue pour leurs "trois vies": amener les enfants à l'école, travailler, puis sortir.

En France, les modèles 100% cachemire ont fait leur apparition en grandes pompes chez Colette (en présence notamment de Carine Roitfeld). Ils seront disponibles sur le site de vente en ligne netaporter dès le 27 juillet et sur le site de Claudia le 12 août. Les prix varient entre 250 et 1000 euros. Comptez 750 euros pour un gilet.
Et vous, succomberez-vous à l'envie d'une belle pièce de cachemire pour la rentrée?
http://www.lexpress.fr/styles/mannequins/le-cachemire-c-est-glamour_1013852.html
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jeudi 28 juillet 2011

La CAF : Attention aux mails frauduleux sur internet

Les Caisses d'allocations familiales (CAF) ont de nouveau mis en garde mercredi contre des mails frauduleux, qui invitent les particuliers à envoyer des copies de certains documents, notamment les papiers d'identité. Cette attaque informatique, dite de « phishing » (« hameçonnage »), est une escroquerie de plus en plus courante sur la toile. Plusieurs allocataires des CAF, ainsi que des particuliers non affiliés, ont reçu par courriel, depuis mardi, un message les informant « du droit à une prime d'aide vacances d'un montant de 152,45 euros ». Il est alors demandé au bénéficiaire d'envoyer, toujours par courriel, une copie de sa carte d'identité, accompagnée d'un justificatif de domicile de moins de trois mois.

Ce courriel, imitant parfaitement ceux des allocations familiales, s'avère être en réalité une escroquerie. La CAF invite donc les personnes ayant reçu ce mail à le transmettre par courrier postal ou par messagerie à leur Caisse d'allocation familiale afin de faciliter l'enquête sur l'origine et les auteurs de ces courriels frauduleux. Ceux qui auraient retourné les pièces demandées sont, quant à eux, invités à porter plainte auprès de la gendarmerie ou de la police.

Une escroquerie difficile à sanctionner

La Caisse a toutefois assuré que « le système d'information n'a pas été piraté » et que les auteurs du mail « ont dû se procurer des adresses mails à partir de bases de données externes et non connue de la Cnaf (Caisses nationales d'allocations familliales) ». Des personnes n'étant pas allocataires ont également reçu ce courriel frauduleux.
La Cnaf a annoncé qu'elle allait déposer plainte contre X, en se constituant partie civile. Toutefois, le « phishing » (dérivé de « fishing » : pêche et de « phreaking » : piratage de lignes téléphoniques), est une escroquerie difficile à réprimer. Ses auteurs sont généralement domiciliés à l'étranger, dans des pays aux régimes juridiques très protecteurs.
http://www.francesoir.fr/actualite/societe/caf-attention-aux-mails-frauduleux-sur-internet-120660.html

lundi 25 juillet 2011

L'accouchement avec hypnose, vous connaissez ?

Cette technique anti douleur gagne du terrain dans les hôpitaux, notamment juste avant l'accouchement. Inédite, la pratique bouscule la pratique des médecins.

dimanche 24 juillet 2011

Grossesse après 35 ans: La procréation médicalement assistée ne rattrape pas le temps perdu

C'est ce qu'affirme une étude britannique...
Les spécialistes tirent une nouvelle fois la sonnette d’alarme. Les femmes qui retardent le moment d’avoir un enfant ne peuvent pas compter sur les techniques de procréation médicalement assistée (PMA), telles que la fécondation in vitro, pour avoir un enfant. Celles-ci ne permettent pas de rattraper le temps perdu, insistent des chercheurs dans une importante étude britannique de l’Université de Glasgow, publiée dans la revue Obstetrician & Gynaecologist et relayée par le Daily Mail ce lundi.
Partant du constat que de plus en plus de couples attendent la fin de la trentaine pour fonder une famille, l’étude rappelle que passé 35 ans, une femme a cinq fois plus de risques d’avoir des difficultés pour tomber enceinte. «Le nombre et la qualité des œufs dans l’ovaire diminue», prévient le professeur Scott Nelson, co-auteur de l’étude. Et la PMA n’y peut rien. Ainsi, seulement 23% des femmes pratiquant une FIV à l’âge de 40 ans auront un bébé, contre 80% pour celles âgées de 35 ans et moins.

Les hommes aussi

Les hommes sont également concernés par cette diminution de la fertilité. A l’âge de 40 ans, il leur faudra environ deux ans pour mettre enceinte leur partenaire, même si celle-ci n’a qu’une vingtaine d’années.
Et les auteurs de l’étude de conclure que l’âge le plus sûr pour faire un enfant reste entre 20 et 35 ans.
http://www.20minutes.fr/article/759180/grossesse-apres-35-ans-procreation-medicalement-asssitee-rattrape-temps-perdu

samedi 23 juillet 2011


L’épicerie fine Sur les Quais et la chef lyonnaise Sonia Ezgulian signent une collaboration bien relevée : des minidoses d’épices soigneusement sélectionnées et un livret façon nuancier pour apprendre à les cuisiner.
Tout pourrait débuter par un grand ménage dans le placard à épices : des pots à peine entamés, ouverts depuis trois ans, côtoient de mystérieux sachets souvenirs de voyages… Le vide fait, plus question, c’est juré, de laisser les prochaines trouvailles s’amasser et s’éventer.
Pour cela, il suffit désormais de miser sur les petites fioles imaginées par Paul Vautrin, le créateur de l’épicerie fine Sur les Quais. Leur nom résume le programme à merveille : Chic Shot ; soit un miniflacon contenant juste assez pour préparer deux ou trois plats. Les épices sont ultra-fraîches et leur diversité (trente références) permet d’aller de découverte en découverte. Poivre de Voatsiperifery ou du Sichuan, tandoori, garam masala, piment basque…
Pour en faire bon usage, on suit les recettes (mikado de sardines en coque de cumin, rillettes de maquereau au zahtar, entre autres) élaborées par Sonia Ezgulian pour le livret façon nuancier qui accompagne la gamme. À glisser dans sa valise, avec quelques fioles bien choisies, pour briller autour du barbecue et épicer les vacances.
Boutique Sur les Quais, marché Beauvau, place d'Aligre, 75012 Paris. Tél. : 01 43 43 21 09.
 http://madame.lefigaro.fr/art-de-vivre/shots-epices-120711-168605

vendredi 22 juillet 2011

Pieds nus dans le jardin

Ah ! l’été à Paris ! Un enfer pour celles qui rêvent de plages autres que celles qui vont ourler la Seine dès la semaine prochaine, un paradis pour d’autres, promptes à remplir autrement leur agenda estival. Voilà une adresse où les deux camps devraient se retrouver.
Buller à la terrasse des cafés avant ou après une session culturelle au musée le plus proche, voilà l’une des grandes activités d’une Parisienne esseulée en été. Autant, dans ce cas, se prélasser dans un bel endroit comme le jardin de la Villa Madame, petit hôtel caché dans la rue du même nom du 6e arrondissement.
Pourquoi ici et pas ailleurs ? Parce qu’entre deux bouchées de tiramisu aux framboises et deux gorgées de citronnade, une esthéticienne s’empressera de vous mitonner une pédicure ou une manucure express aux couleurs d’O.P.I.
Si vous avez un peu plus de temps, la pause détente peut aussi s’accompagner d’un gommage et d’un masque hydratant – et non, cette rallonge cosmétique n’est pas là simplement pour justifier votre commande d’un second goûter, un Royal chocolat (mousse chocolat sur croquant praliné, une folie !) par exemple… Alors, et si vous restiez à Paris cet été ?

Beauté des mains ou des pieds avec gourmandise et citronnade, de 15 à 45 €.
Villa Madame, 44, rue Madame, 75006 Paris. Réservations au 01 45 48 02 81.

http://madame.lefigaro.fr/beaute/pieds-nus-dans-jardin-150711-168691

dimanche 17 juillet 2011

Parfaite à la plage : stratégies dernière minute

J'ai les jambes gonfléesLa solution SOS avant de partir : je me mets à l’aquarunning. Il s’agit de courir sur un tapis de course immergé dans une piscine dont la profondeur est comprise entre 1,20 m et 1,50 m. Contrairement à celui des salles de gym, ce tapis n’a pas de moteur et est propulsé par la seule force des jambes. On alterne marche rapide, montée de genoux, pas chassés... Le cours dure entre 30 et 45 minutes. « L’action drainante de l’eau est très efficace sur la circulation et le gonflement des jambes. En fin de séance, on se sent hyperlégère », dit Lionel Médioni, responsable fitness au spa My Blend by Clarins du Royal Monceau. À pratiquer aussi au Club Med Gym. www.clubmedgym.fr

À la plage : je teste le coastering, une marche rapide le long de la plage dans l’eau et hors de l’eau en profitant au maximum du relief. À Biarritz, le centre sportif Thalmar a créé un parcours de 6 km avec différents types de terrain : sable sec ou humide, marche, escalade de rochers, marche dans l’eau, etc. L’alternance des surfaces stimule les différents points de réflexologie sur la plante des pieds et assure une meilleure circulation des énergies dans tout le corps.www.biarritz-thalasso.com

http://madame.lefigaro.fr/beaute/parfaite-plage-nos-strategies-derniere-minute-120711-167910

samedi 16 juillet 2011

Ah ! si j’étais Marie-Antoinette…

Certes, la Reine préférait le Petit Trianon au Grand mais sans doute aurait-elle transformé en dressing ce « palais de marbre rose et de porphyre avec des jardins délicieux » comme le décrivait Mansart, si elle avait vu l’expo qu’y propose le Musée Galliera.
En tout cas, si, par le biais d’un accident spatio-temporel, elle surgissait aujourd’hui au beau milieu du Salon des Malachites ou passait l’antichambre du Grand Trianon, Sa Majesté serait surprise d’y découvrir ses falbalas conçus par Rose Bertin, Mesdames Alexandre ou Eloffe, ses jupes à paniers, manches engageantes, robes Watteau et autres habits de brocart de son temps à ce point bousculés.
L’idée de l’exposition Le XVIIIe au goût du jour organisée par Olivier Saillard, conservateur du Musée Galliera, est en effet de mettre en miroir tenues historiques et extraits de collections contemporaines couture ou prêt-à-porter signées entre autres Vivienne Westwood, Chanel par Karl Lagerfeld, Christian Lacroix, Thierry Mugler, Azzedine Alaïa, Balenciaga par Nicolas Ghesquière, Jean Paul Gaultier, Dior, Alexander McQueen pour Givenchy ou, plus inattendu, Comme des Garçons, Maison Martin Margiela et Yohji Yamamoto.
http://madame.lefigaro.fr/style/ah-si-jetais-marie-antoinette-150711-168776

vendredi 15 juillet 2011

Votre vanity antibobos

On a beau se dire qu’en vacances, on oublie tout, il y a toujours un petit hic pour nous faire redescendre sur terre… Histoire d’éviter les catas, on anticipe et on glisse quelques remèdes dans sa trousse S. O. S.
Oups ! Je me sens pas bien
Le train, l’avion, les embouteillages… Outre les immanquables pastilles de menthe, on applique sur les tempes, le front et derrière les oreilles une drôle de potion magique : Head’Ake, de
Solyvia, une jolie marque née en Corse et inspirée de la pharmacopée méditerranéenne. Un cocktail d’huiles essentielles de macadamia, bourrache, lavandin, camomille, basilic, menthe poivrée, entre autres, planqué dans un roll-on hyperpratique. On en profite pour jeter un œil sur la gamme qui s’attaque à tous les bobos de l’été (7,80 € le roll-on de 5 ml).
Aïe, mes pieds !
Même en tongs, l’été reste la saison des ampoules. Acte I : on anticipe les cloques et les échauffements avec le
Stick préventif Anti-Ampoules de Compeed, que l’on passe et repasse aux endroits critiques (7,84 €). Acte II : avant de filer danser toute la nuit, on aura pris soin de préparer nos petons avec le Survival Kit de la marque américaine Foot Petals. À l’intérieur : des semelles (demies ou entières) pour protéger la plante des pieds, des coussinets pour les talons et de fines lanières pour atténuer les frottements du cuir sur la peau (39,95 €).

Bing ! J’ai raté le plongeoir
Et forcément hérité de la belle égratignure qui va avec. Pour les légers coups et blessures d’apprenties sportives, on suggère le Baume à Bobos de la gamme La Petite Herboriste, chez
Douces Angevines. À base de benjoin et de millepertuis, ce « Cosméto-fluide » stimule et facilite la cicatrisation de la peau (26,90 € le flacon de 30 ml).
Un peu chaud, le barbecue…
Si l’on a approché la bête d’un peu trop près, on se précipite sur la Crème Réparatrice au Miel de Manuka, un arbuste de Nouvelle-Zélande aux propriétés antibactériennes qui soigne les plaies superficielles autant que les brûlures légères (
Comptoirs & Compagnies, 9,90 € le tube de 40 ml).
Trop fort, le soleil
Outre les après-soleil classiques, on calme le feu avec le Baume de Copaïba, une plante amazonienne qui, en plus d’apaiser les coups de soleil, est un remède efficace pour dénouer les articulations (
Guayapi, 13,40 € le flacon de 50 ml). Et pour l’éteindre totalement tout en nourrissant la peau, on applique le Travel Gel de Planter’s, composé à 99,9 % d’aloe vera pur. Un sauveur comme on n’en fait plus… (5 € le tube de 50 ml.)
http://madame.lefigaro.fr/beaute/mon-vanity-antibobos-110711-168482
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jeudi 14 juillet 2011

"Les stars chantent contre le cancer"

Pour sa sixième édition estivale, le gala « Tout le monde chante » au profit de la lutte contre le cancer a battu des records d'affluence. Le week-end dernier, à Villefranche-de-Rouergue, 10 000 personnes et 450 enfants malades ont assisté aux concerts donnés par des personnalités du monde de la musique comme Francis Cabrel, Lââm et Sheryfa Luna , ou de la télévision, à l'image de Laurence Boccolini et de l'équipe de Plus belle la vie . L'événement a encore permis à des bambins de partager des moments d'exception avec leurs « anges gardiens ».
Un garçon de 7 ans a ainsi rencontré son idole, Chantal Goya . Devenu aveugle après un cancer, il a reconnu l'artiste grâce à sa voix. Il a touché sa robe, essayé de reconnaître ses tenues. De son côté, Shy'm a partagé un instant avec une petite fille de 3 ans. La chanteuse l'a maquillée et coiffée en princesse. La prochaine date est prévue à Paris à la fin de l'année 2011. Il s'agira d'un gala spécial Noël. Encore une belle occasion de permettre aux enfants de réaliser leurs rêves.

Retrouvez cet article sur TVMag.net

mardi 12 juillet 2011

Anna Sam, star des caissières

« Tu vois, chéri, si tu ne travailles pas bien à l’école, tu deviendras caissière comme la dame. » Cette remarque, publiée sur un blog anonyme en 2007, au milieu de mille et une anecdotes tantôt révoltantes, tantôt amusantes sur le quotidien d’une caissière, est devenue mythique.
Son auteur ? Anna Sam, employée dans un supermarché de la banlieue rennaise pendant huit ans. Lassée d’être invisible aux yeux des clients, la jeune femme commence à prendre en note les petits riens qui ponctuent ses journées. Puis les publie sur un blog. Grâce au succès de ses chroniques humoristiques, Anna Sam a pu quitter sa caisse afin de se consacrer à sa passion : l’écriture.
Tout a commencé par un banal emploi d’étudiant qui s’éternise. Anna Sam, 20 ans, devient caissière dans un hypermarché Leclerc « pour financer ses études et découvrir le monde professionnel ». Son DEA de lettres en poche (bac + 5), Anna aspire à d’autres horizons professionnels. En vain. Ses candidatures dans les secteurs de l’édition et de la culture restent sans réponse. C’est alors qu’elle crée son blog pour raconter la vie, pas toujours rose, des caissières. « Je voulais changer le regard des gens sur ces métiers jugés basiques. Je m’étais dit que si j’arrivais à ouvrir les yeux d’au moins un client sur sa caissière, ce serait une victoire. J’ai gagné mon pari ! » se félicite cette jeune femme brune aux grands yeux verts cachés derrière des lunettes rouge vif.

Des autographes sur les tickets de caisse

Le 5 janvier 2008, Anna Sam démissionne, à bout. Pure coïncidence : elle est contactée le jour même par des journalistes. Ce sera le début d’une tornade médiatique. Pendant des semaines, Anna Sam sera la vedette des plateaux de télévision, des émissions de radio. Elle est happée dans la rue par des inconnus qui lui demandent de signer des autographes sur leur ticket de caisse. Dans la foulée, une douzaine de maisons d’édition la sollicitent afin de publier un livre à partir d’extraits de son blog. Les Tribulations d’une caissière (1) se vendent à près de 300.000 exemplaires en France, 100.000 à l’étranger. Une adaptation BD voit le jour, puis un film, dont la sortie est prévue dans six mois. Avec au générique Déborah François et Nicolas Giraud dans les rôles principaux, mais aussi Marc Lavoine, Elsa Zylberstein et… Anna Sam en figurante.

Une enquête pour Leclerc

La carrière d’Anna Sam décolle. « Aujourd’hui, j’ai plusieurs casquettes : je suis auteur, je viens de publier mon troisième livre (2) et j’écris mon premier roman », se réjouit-elle. La trentenaire fait aussi de l’audit sur la grande distribution. Elle vient de terminer une enquête de terrain pour Leclerc à propos des hôtesses de caisse. « Le but était de montrer ce qui allait mal et de proposer des solutions. J’ai rendu mes préconisations, aujourd’hui je dois m’assurer qu’elles soient appliquées. » Parmi les points sur lesquels « il y a des progrès à faire », Anna cite la tenue des caissières, « car, quoi qu’on en dise, c’est un emploi de présentation ». Elle précise : « Si on porte un uniforme mal coupé et qui s’abîme au bout de trois lavages, on ne peut pas être à l’aise dans son travail. » A partir de septembre, Anna sera également chroniqueuse pour France Bleu Armorique. Sa chronique sera « un peu geek » et portera sur les blogs, comme son dernier livre. « Je suis issue de la génération Internet, déclare-t-elle. Je dois beaucoup au Web : ma notoriété mais aussi mon mari, rencontré via un forum il y a dix ans. »

« Je continue à compter mes dépenses »

Anna Sam n’a pas changé de mode de vie, ni pris la grosse tête. A bientôt 32 ans, c’est une femme enjouée, passionnée et modeste. « Je fais ma lessive et mes courses comme tout le monde », s’amuse-t-elle. « J’ai le même mari, les mêmes amis, le même chien et le même vieux canapé qu’avant, énonce la jeune femme. Le seul changement, c’est que nous avons pu acheter une maison. » Anna et son mari ne sont pas dépensiers. « J’ai toujours compté, alors je continue. On ne change pas ses habitudes du jour au lendemain. Le seul caprice que je me suis accordé, c’est l’achat d’une tablette numérique mais, comme je ne l’utilise jamais, je vais la revendre, explique-t-elle. J’achète aussi plus de bouquins. Avant, j’attendais la fin du mois, et j’étais heureuse lorsque je pouvais m’en offrir un ou deux. »

« Les caisses automatiques, je ne suis pas contre »

Près de quatre ans après avoir quitté les caisses des hypermarchés, Anna a toujours des positions bien tranchées sur son ancienne profession. « Le travail le dimanche, je suis contre, dit-elle sans détour. Les magasins sont ouverts 12 heures par jour, 6 jours sur 7, je ne peux pas croire qu’on ne puisse pas faire ses courses à ces moments-là. » Elle ajoute : « Je serai pour quand on arrêtera de nous mentir en nous faisant croire que les salariés sont payés double et qu’ils font cela sur la base du volontariat. Je connais des caissières qui n’ont ni le choix ni les avantages financiers. »
Sa position sur les caisses automatiques n’est pas celle que l’on pourrait croire. « J’étais 100 % contre. Mais, depuis, j’ai vu des caissières qui y trouvaient un intérêt, appréciant de pouvoir tout gérer et d’aider les clients. Pour l’instant, cette technologie n’a pas entraîné de licenciements. On verra où on en sera dans dix ans, peut-être qu’à ce moment-là, je me dirai que je me suis complètement plantée. »

http://www.francesoir.fr/loisirs/culture/anna-sam-star-des-caissieres-116282.html

lundi 11 juillet 2011

Quelle détox est faite pour vous ?

Elle aide à retrouver la forme, évacuer les excès, offrir une cure de jouvence sa peau. Bonne à tout faire, la détox se conjugue au pluriel. Faites le test pour savoir laquelle choisir.

pour faire le test cliquez sur ce lien..... http://madame.lefigaro.fr/beaute/quelle-detox-faite-pour-vous-220611-164872
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vendredi 8 juillet 2011

Cohen ou Dukan ? La guerre des régimes a bien lieu avant l’été

La guerre des kilos a bien lieu. Que ce soit dans les magazines, dans les librairies, et finalement sur les pèse-personne, la quête de la minceur est une tyrannie pour ceux qui la convoitent et une industrie florissante pour ceux qui en vivent.
C’est ainsi qu’il faut analyser la bataille juridique qui oppose les poids lourds du régime, les docteurs Dukan et Cohen, dont le tribunal dira cet après-midi si le second a diffamé le premier (voir par ailleurs). Car plus que de déterminer si le régime hypocalorique vaut mieux que le régime hyperprotéiné, il s’agit de savoir qui des deux spécialistes médiatiques des kilos en moins (ou en trop), va se faire de la pub pour accroître ses parts de gâteau.
Les régimes ont toujours existé mais subissent, comme tout, l’influence de la mode. Le régime Dukan est actuellement celui qui a la cote (le livre « Je ne sais pas maigrir » s’est vendu à 700 000 exemplaires) et les patients qui veulent un suivi personnalisé (payant) du médecin sur le net, sont de plus en plus nombreux.
Longtemps, les régimes ont concerné majoritairement les femmes et squattaient les Unes des magazines féminins chaque année en avril. Les titres sont toujours les mêmes (« perdre 5 kg en quinze jours », « gagner deux tailles en un clin d’œil » ou « maigrir en se faisant plaisir ») et vont de pair avec les publicités pour les crèmes amincissantes qui s’étalent en pages intérieures.
Désormais, ils sont un sujet de société et non plus un marronnier pour la presse féminine. Signe des temps où l’apparence est reine, les hommes aussi regardent la balance. Les rugbymen ont en une décennie, transformé leur gras en muscle et font des troisième mi-temps « light », David Douillet a perdu 35 kilos et François Hollande a signé son entrée en campagne en en perdant dix. « Il s’agissait de montrer une détermination, une volonté », reconnaît aujourd’hui le député de Corrèze, après avoir longtemps évoqué son « bien-être personnel ».
Maigrir devient viril, préférer les haricots verts et les sucrines aux frites est carrément tendance. Notre époque fait l’apologie des minces et de ceux qui savent le rester. Le régime Dukan, un peu austère, surfe sur cette tendance. Car le régime œuf dur blanc de poulet et jambon maigre est assez contraignant. Il convient à ceux qui veulent porter (très vite) des vestes cintrées et les pantalons slim et à celles qui veulent passer avec brio le test du maillot de bain. Dukan, Cohen et leurs confrères ont encore de beaux régimes devant eux.
http://www.leprogres.fr/france-monde/2011/07/05/cohen-ou-dukan-la-guerre-des-regimes-a-bien-lieu-avant-l-ete

jeudi 7 juillet 2011

CHRONIQUE SHOPPING :Devenir un pro de la musique sur verre à vin

Nous avons trouvé un nouvel instrument pour allier les 2 passions de Christophe : musique et vin !
Les verres à vin musicaux !
Sur les verres à vin Musical Glass, différentes gradations indiquent quelles notes seront produites par les différents niveaux de remplissage. Il suffit de passer son doigt sur le bord des verres.
Une semaine seulement après leur commercialisation, ces verres ont un énorme succès, notamment à Londres, ou les Britanniques en sont déjà fou.
Les verres musicaux sont soufflés à la main et décorés à Londres. Ils sont vendus par lot de quatre, au prix de £45 (€52) ou de deux, pour £23,50 (€27).
Et si vous voulez organiser un dîner-spectacle et créer une symphonie, la boîte de douze verres permet de couvrir une octave complète. C'est celui que possède Christophe : DEMO

Plus d'infos: shoplunaandcurious.com

http://legrandmorning.rtl2.fr/2011/06/chronique-shopping-devenir-un-pro-de-la-musique-sur-verre-%C3%A0-vin.html

mardi 5 juillet 2011

La Haute Couture, c'est parti

Les défilés automne-hiver 2011-2012 se tiendront à Paris du 4 au 7 juillet.


Cette saison s'annonce particulièrement riche avec, événement très attendu, l'entrée d'Azzedine Alaïa dans le calendrier officiel, comme "membre correspondant". A 71 ans, celui qui, aux diktats des podiums, a toujours préféré des présentations intimistes, livrera un défilé chez lui, dans le Marais, mêlant des pièces haute couture et des intemporels. Anne Valérie Hash fêtera les 10 ans de sa maison, tandis que Jean Paul Gaultier profitera de son défilé couture pour lancer son nouveau parfum masculin, "Cocorico". Quelques hommes devraient donc se glisser sur le podium... Le couturier libanais Elie Saab lancera pour sa part son premier parfum éponyme au soir de son défilé, le 6 juillet.
Chez Dior, on imagine que la collection sera réalisée par les ateliers de couture, dont on se souvient que les petites mains en blouse blanche étaient montées sur le podium, en mars dernier, peu après l'éviction de John Galliano. Outre les autres grandes maisons, Giorgio Armani avec Armani Privé, Chanel, Valentino, notons deux nouveaux venus: le créateur Giambattista Valli, et la jeune Yiqing Yin, lauréate du second Prix de l'Andam doté de 60 000 euros, et dont le travail avait été remarqué au prestigieux festival de mode de Hyères l'an dernier, présentera son premier défilé le 7 juillet.
Enfin, Bouchra Jarrar, qui a installé récemment sa maison rue de Cléry, dans l'immeuble d'un ancien fabricant de Mme Grès, présentera sa quatrième collection. Une suite des précédentes, d'une sensualité éblouissante de maturité. Avec des robes en raphia, en maille ou en crêpe georgette qui tournent autour du corps, en un mouvement de biais pour une mode toujours au bord du déséquilbre, entre force et fragilité, s'appuyant sur les hanches soulignées d'une ceinture de rubans de satin. La nouveauté: l'anthracite travaillé en monochrome ponctué de lignes, comme un dessin et surtout le bleu électrique, vibrant.
http://www.lexpress.fr/styles/defiles-de-mode/la-haute-couture-c-est-parti_1008868.html
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dimanche 3 juillet 2011

LES PETITS SECRETS DES SANDWICHS

LE SANDWICH EST TENDANCE
Les chefs étoilés ont commencé à s’intéresser à la restauration rapide en préparant des en-cas pour les clients des grands hôtels.
Alain Ducasse, Marc Veyrat et Paul Bocuse ont déjà ouvert leurs sandwicheries : prix de la formule sandwich : 10 à 15 €
INDUSTRIEL VS MAISON
On ne met pas ce qu’on veut dans un sandwich industriel. Impossible par exemple, de trouver des avocats : ils se dégradent trop vite.
Et si tous les ingrédients sont frais, le poulet, lui, est surgelé.
Alors un sandwich sous plastique est-il pour autant moins bon que celui de la boulangerie ?
Pas du point de vue diététique. Le « fait-maison » utilise souvent des ingrédients plus gras, plus caloriques et en plus grande quantité.
L’EN-CAS IDEAL
Du pain complet avec du thon ou du saumon, du fromage et des crudités, accompagné d’un fruit et d’une boisson sans sucre ajouté.
Car ce qui fait la qualité nutritionnel d’un sandwich c’est ce qui l’accompagne. Et c’est là que le bât blesse. Les formules proposées par les enseignes de restauration rapide ne sont équilibrées que chez 54 % des vendeurs.
En cause : l’absence d’une vraie portion de fruits ou de légumes.
L’INNOVATION
Après 10 années de recherches, le « candwich », ou sandwich en canette, est né aux Etats-Unis. A l’intérieur, un pain à hot-dog, un sachet de garniture et un bonbon pour le dessert.
Les saveurs : Poulet à la sauce barbecue ou beurre de cacahuète à la confiture de fraises.
Vendue 2 €, ce sandwich n’a pas besoin de frigo. Il se conserve un an.
Le fabricant Mark One Foods conseille d’en stocker chez soi en cas de catastrophe naturelle !
SOURCE : CA M’INTERESSE
http://legrandmorning.rtl2.fr/2011/06/les-petits-secrets-des-sandwichs.html