Selon Frédéric Fanget, psychiatre, la rentrée des classes fait partie de ces rendez-vous immuables qui rythment la société, vécu comme un nouveau départ.
UNE ETAPE BENEFIQUE
Selon le psychiatre, les bonnes résolutions de la rentrée sont une excellente mécanique psychologique. "Ce sont des idées qui ne viennent pas du cerveau émotionnel mais du cerveau intelligent. Elles nous sont dictées par la raison."
Sans nos bonnes résolutions, on stagnerait, on se projetterait jamais dans l'avenir.
NE PAS METTRE LA BARRE TROP HAUT
Selon une récente étude américaine, seuls 12 % d'entre nous tiennent leurs bonnes résolutions.
DES DIFFERENCES ENTRE LES HOMMES ET LES FEMMES
Les hommes échouent autant que les femmes, mais pas pour les mêmes raisons. Selon les chercheurs, les hommes ont tendance à croire à l'impossible et à se donner des buts irréalistes, alors que les femmes échouent par manque d'encouragements.
EN CHOISIR PEU ET CELLES QUI SONT REALISABLES
Apprenez à lister les choses que vous aimeriez changer par ordre d'importance et n'en choisissez qu'1 ou 2, celles qui sont le plus réalisables.
PAS LES MÊMES QU'EN JANVIER
En Septembre, on refait sa garde-robe ou on s'inscrit au club de gym. Les résolutions actuelles touchent essentiellement à l'organisation de vie. Rare sont ceux qui arrêtent de fumer en ce moment. Alors que la vente de patchs fait un boom après le nouvel an.
Les résolutions de Janvier touchent à des changements en profondeurs, comme changer de conjoint.
SOURCE : LE PARISIEN
http://legrandmorning.rtl2.fr/2011/09/cest-lheure-des-bonnes-resolutions.html
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