vendredi 4 mars 2011

CHRONIQUE TENDANCE : LA DEAD DROPS

A l'origine : cette « boîte aux lettres mortes » était un système de communication pour les espions des années 60. Une sorte de cachette où l'on pouvait mettre de l'argent ou des missions secrètes.


Qui : Lancé en Octobre 2010 par Aram Bartholl, un artiste berlinois. Il a recyclé le concept avec des clés USB.


Quoi : la « deap drop » est donc une clé USB qui doit se fondre dans un endroit banal (mur, sous un rocher...). Elle peut contenir des documents, de la musique ou des vidéos. Bien sur, rechercher une « dead drop » relève du jeu de pistes.


Où : Les « dead drops » se multiplient : 300 dans le monde entier ! L'artiste en a installé 5 dans la ville de New-York et le mouvement se propage. On en trouve principalement en Amérique du Nord et en Europe dont une 12aine en France. Mais aussi une en Afrique du sud et une en Chine. A Paris, il y en existe une dizaine.


Le « dead drop » finalement, c’est le mix entre le self et l’auberge espagnol. Servez vous et déposez ce qui vous tient à coeur, vous ressemble.


http://legrandmorning.rtl2.fr/2011/02/chronique-tendqnce-la-dead-drops.html

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